Jadis, à Cheseaux-Noréaz, dans un zoo, il n’y avait que des girafes. Les girafes avaient des petits cous. Un jour, elles se fâchèrent contre un homme, qui dit :
– Il faut que l’on mette autre chose que des girafes !!
– Non ! Nous, on est parfaites ! Et en plus, tout le monde nous aime, dit la girafe.
Les hommes, très fâchés, leur tirèrent le cou et tous les bébés qu’elles firent étaient immenses. C’est pourquoi, les girafes ont maintenant un long cou.
Nous avons mélangé différents liquides entre eux pour observer comment ils réagissaient.
Nous avons fait des hypothèses. Certaines se sont confirmées, d’autres non.
On peut mélanger deux liquides. Il ne se passe pas la même chose si on mélange de l’eau et du vinaigre ou du sirop et de l’eau avec de l’huile. Quand l’eau est mélangée avec le vinaigre ou le sirop, on ne peut pas distinguer les deux éléments. On dit que c’est un mélange homogène. En revanche, l’eau et l’huile ne se mélangent pas. On dit que c’est un mélange hétérogène.
C’est la même chose lorsqu’on mélange un liquide et un solide. En mélangeant de l’eau avec du sel ou du sucre, on obtient un mélange dans lequel on ne peut pas voir la différence entre les substance. C’est un mélange homogène. Lorsqu’on mélange de l’eau et du sable, on voit les particules en suspension dans l’eau. C’est un mélange hétérogène.
Nous avons observé aussi un mélange entre de l’eau et du gaz : l’eau gazeuse (eau + CO2).
Nous avons essayé de répondre à cette question en utilisant un réchaud à gaz, une casserole et de l’eau. Pour mesurer la température de l’eau, nous avons utilisé un thermomètre.
Notre observation est la suivante : en chauffant l’eau, elle bout et se transforme en gaz (vapeur d’eau). Même en la chauffant longtemps, sa température ne dépasse pas les 100 degrés !
Nous avons placé une plaque en plexiglas au-dessus de la casserole et nous avons observé que des gouttes d’eau se forment dessus. Il s’agit de la condensation de la vapeur d’eau. L’eau gazeuse mélangée à l’air redevient liquide au contact de la surface.
À la fin de l’expérience, toute l’eau s’était évaporée. Nous avons observé de la matière blanche au fond de la casserole. Il s’agit d’une roche, du calcaire, qui se trouve dans l’eau.
En faisant des recherches sur Internet, nous avons trouvé que l’eau ne bout pas toujours à 100 degrés. C’est une question d’altitude (de pression de l’air). À 4000m d’altitude, l’eau bout à environ 85 degrés ! Nous avons trouvé également un moyen pour faire de l’eau plus chaude que 100 degrés : la marmite à pression. Dans une marmite à pression, la température de l’eau peut aller jusqu’à 120 degrés, car la pression est plus élevée. C’est comme ça que les aliments peuvent être cuits plus rapidement.
L’installation pour chauffer l’eau.Un exemple de marmite à pression (autocuiseur). Source : Wikipédia
Frédérique Böhi est venue en classe pour une animation sur le thème de l’architecture durable. Elle nous a présenté 3 artistes qui mêlent architecture et nature :
Orianne Zanone (Yverdon-les-Bains)
Hundertwasser, un artiste autrichien.
Et enfin, Luc Schuiten (Belgique) qui a imaginé des villes végétales.
Puis, les élèves ont imaginé leur écoquartier en le dessinant et en respectant certains principes.